La source primordiale des parchemins étant révélée, il nous faut nous intéresser dès maintenant à une partie du grand parchemin que nous n’avons fait qu’effleurer. Il s’agit des deux dernières phrases :
JESU.MEDELA. VULNERUM + SPES. UNA. POENITENTIUM.
PER. MAGDALENAE. LACRYMAS + PECCATA. NOSTRA. DILUAS.
Qui se traduit par : « Jésus remède aux blessures, seul espoir du pécheur, par les larmes de Madeleine, qui dissout nos péchés » (traduction de 2005 revue)
Jusqu’alors on ne semblait pas se soucier de ce passage. Personne n’était en mesure de nous renseigner sur l’origine de cette locution latine que Bérenger Saunière s’ingénia à graver sur le bas-relief de l’autel de son église de Rennes-le-Château et à recopier sur le grand manuscrit. L’exercice inverse est aussi de mise.
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