Les chemins Perilleux vers l'archidiocèse de Rouen

Gaillon, Demeure Philosophale oubliée par Fulcanelli, peut-elle être le réceptacle de secrets d’une force spirituelle abyssale ? Qu’est ce qui nous permet d’oser arracher à la terre du Razès une partie de «la chair de sa chair» et de faire de Gaillon, demeure archiépiscopale des archevêques de Rouen, un de ses gîtes secrets du lion dont parle la Tradition et si chers à George Hunt Williamson [1] ?
Après un demi-siècle d’enquêtes en tout genre et quelque 400 publications plus tard, nous sommes tous, plus que jamais, à la poursuite du mystère de l’abbé Saunière. Nous considérons, comme d’autres l’ont affirmé avant nous, que plusieurs sites sont en liaison dans cette affaire[2]. Ne nous encourage-t-on pas à chercher ailleurs quand on nous dit: «Tout n’est donc pas à Gisors»[3].

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