Derniers articles

Le manuscrit Bourdet

Mon, 14 Jul 2014 00:00:01 +0200

L’art de maquiller les documents r�els �tait devenu une seconde nature chez les dirigeants du Prieur� de Sion en 1962. On se souviendra encore longtemps de l’emploi frauduleux du manuscrit, du pr�tre sacristain de l’�glise de Gisors Alexandre Bourdet, exerc� par G. de S�de.
Le croquis de la chapelle souterraine dite Sainte-Catherine, reproduit dans son best-seller de 1962, �tait un apocryphe. Le graphisme et la typographie des l�gendes de ce plan ne ressemblent en rien � l’�criture d’A. Bourdet. Cela ne signifie absolument pas qu’il �tait purement faux.
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Remarques g�n�alogiques sur les Boudet et les Poussin de Normandie ou d�ailleurs...

Thu, 01 Sep 2011 00:00:01 +0200

Apr�s avoir �tudi� l'ascendance d'Ang�lique LENOIR (voir aussi Mercure de Gaillon N�6), ses ramifications dans le Vexin, et ses liens avec les LA ROCHEFOUCAULD, je me suis pench� sur la descendance des STUBLEIN, faute de trouver leur ascendance. Quelques tentatives afin d'�tablir les liens qui existent entre les familles du VERNET, DUPUY et DELSOL (inhum�s au "tombeau des seigneurs" � Rennes-le-Ch�teau), puis les ramifications des familles FOUQUET, BETHUNE. Enfin quelques familles BOUDET, apparent�es ou non au cur� de Rennes-Les-Bains ?
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Des Lenoir et des Lebrun

Sat, 05 Jun 2010 00:00:01 +0200

Dans un pr�c�dent article, (du Mercure de Gaillon n�6) nous avons pu voir que la suspicion qui faisait d'Ang�lique LENOIR la sœur d'Alexandre LENOIR �tait fond�e.
Apr�s des recherches approfondies tant aux Archives d�partementales de Paris, mais surtout au Centre d'Accueil et de Recherche des Archives nationales (CARAN), o� le Minutier Central des Notaires s'est av�r� �tre une v�ritable mine d'Or, l'ascendance de nos deux personnages a pu �tre �tablie, sans contestation possible, et ouvre � ce jour des perspectives int�ressantes quant aux liens g�n�alogiques de ces deux familles.
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G�n�alogie des rois m�rovingiens - Les tablettes du lignage royal

Thu, 25 Mar 2010 00:00:01 +0100

Cette page avait disparu depuis les ann�es 1960/70. Elle contenait une reproduction de la fameuse dalle. Par bonheur, aujourd’hui, un nouvel exemplaire complet est disponible � la BnF sous la cote 8-S-6742 - 1927. Nous y lirons �galement une excursion aux ruines du ch�teau du B�zu, pages qui avaient aussi �t� arrach�es.
Apr�s avoir �pluch� les Dossiers Secrets d’Henri Lobineau et conclu en apoth�ose par la L�gende de Dagobert, collage inclus dans � Pierres Grav�es du Languedoc � d’E. St�blein, provenant d’un ouvrage de 1648, nous venons d’apprendre la r�apparition, � la BnF, de la gravure de la dalle, dite des chevaliers, publi�e par la SESA[1].
Beaucoup de preuves, relatives � l’affaire de Rennes-le-Ch�teau, �mergent de plus en plus rapidement. Le Serpent Rouge, autre publication apocryphe, pilier de l’histoire, tiendra ses promesses. Mais avant de vous d�voiler ce qu’est r�ellement cet opuscule de 1967 qui a fait couler tant d’encre et d�rouler des kilom�tres de pellicules cin�matographiques avec le roman � Da Vinci Code �, pour n’en citer qu’un, voyons d’abord ce qu’il en est de cette fameuse G�n�alogie des rois M�rovingiens, travail rapport� par le pr�sum�, non moins c�l�bre, H. Lobineau[2], faire valoir du Prieur� de Sion.
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Forteresses et tours m�di�vales du canton de Gaillon (part.1)

Wed, 26 Dec 2007 00:00:01 +0100

En 1262, le roi Saint Louis c�da � Eudes Rigaud (ou Odon Rigaud), archev�que de Rouen, le ch�teau et le bourg de Gaillon, la tour et le village des No�s avec le droit de pr�senter aux pr�bendes, en �change du vivier, des moulins que les archev�ques poss�daient � Rouen et d’une somme de 4 000 livres pay�e au roi � Nevers au mois de juillet de cette m�me ann�e. Tout cela nous le savons depuis fort longtemps, mais quelles sont les raisons de cette cession � l’archev�que de Rouen ?
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Des cultes et des �glises de Gaillon

Sun, 18 Nov 2007 00:00:01 +0100

Les premi�res soci�t�s gauloises civilis�es de la contr�e gaillonnaise sont issues des peuplades implant�es d�s la pr�histoire entre la Seine et la rivi�re d’Eure, dans le pays de Madrie, bord�e au nord par le Vexin et au sud par le pays de Chartres. Selon les anciens g�ographes, la Madrie servait de fronti�re septentrionale au pays des Carnutes (Chartres) et n’�tait pas moins consacr�e que la for�t du m�me nom[1].
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Les chemins Perilleux vers l'archidioc�se de Rouen

Fri, 02 Dec 2005 00:00:01 +0100

Gaillon, Demeure Philosophale oubli�e par Fulcanelli, peut-elle �tre le r�ceptacle de secrets d’une force spirituelle abyssale ? Qu’est ce qui nous permet d’oser arracher � la terre du Raz�s une partie de �la chair de sa chair� et de faire de Gaillon, demeure archi�piscopale des archev�ques de Rouen, un de ses g�tes secrets du lion dont parle la Tradition et si chers � George Hunt Williamson [1] ?
Apr�s un demi-si�cle d’enqu�tes en tout genre et quelque 400 publications plus tard, nous sommes tous, plus que jamais, � la poursuite du myst�re de l’abb� Sauni�re. Nous consid�rons, comme d’autres l’ont affirm� avant nous, que plusieurs sites sont en liaison dans cette affaire[2]. Ne nous encourage-t-on pas � chercher ailleurs quand on nous dit: �Tout n’est donc pas � Gisors�[3].
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Les deux Chapelles

Thu, 01 Dec 2005 00:00:01 +0100

En inspectant les restes de la Chapelle Basse et les abords du Ch�teau il est difficile de nos jours d'admettre qu'une fantastique chapelle, � deux niveaux, jouxtait la Galerie du Val. Ses premiers fondements en pierre de Saint-Leu furent jet�s par Guillaume Senault et Pierre Fain, ma�tres ma�ons de Rouen, vers 1504 � l'emplacement de l'ancienne chapelle rattach�e � la coll�giale Saint-Antoine fond�e par Lambert Cadoc en 1204, puis d�truite en 1433 par les anglais.
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Pierres Miraculeuses, la G�om�trie Sacr�e du ch�teau de Gaillon

Thu, 02 Jun 2005 00:00:01 +0200

En cette fin de XVe si�cle, l’Europe, la France en particulier, aspire � de nouveaux horizons. Il n'est pas vain ni pr�tentieux de dire que Gaillon fut, d�s le d�but du XVIe si�cle, le premier foyer du style Renaissance en France car c'est la v�rit�. M�me si peu de gens le savent, et ne s'int�ressent qu'aux ma�onneries du Val de Loire, nous pouvons le lire en toutes lettres dans diverses grandes encyclop�dies:
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Les prisonniers de la tour

Sun, 02 Jan 2005 00:00:01 +0100

L’emprisonnement du fantomatique Nicolas Poulain, dans la forteresse de Gisors en Normandie, a toujours suscit� des interrogations. Les l�gendes sur ses v�ritables origines ont souvent pris le pas sur la r�alit�. La v�rit�, cach�e dans les rayonnages poussi�reux des biblioth�ques o� l'on retrouve la trace des Templiers, ressurgit aujourd’hui, encore plus stup�fiante que la l�gende.
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