C’est un aspect de l’affaire que j’ai pu développer très largement dans le second volet de Mémoires des Deux Cités (épuisé). Je vais ici en faire un bref rappel réactualisé car les documents mis au jour dans l’affaire du « Liber Tobiae » en 2009 confirment mes soupons émis dès 2005. Les documents secrets de la famille d’Hautpoul induisent un effet de miroir considérable du tréfonds du Domaine de la Fontaine Salée à la plus haute ornementation du Château de Gaillon.
De la belle endormie, les incidences généalogiques recueillies ces derniers temps ont fait rentrer Alexandre LENOIR, le sauveur de ce Château de Gaillon, demeure de plaisance des archevêques de Rouen, dans une famille dont les ascendances restent des plus énigmatiques, la Famille d’Hautpoul-Felines.
La descendance de cette dernière détenait une partie des documents notariés communiqués par Marie de NEGRE D’ABLES à sa fille aînée Marie. Partie n’ayant rien à voir avec le testament d’Henri ou Blaise d’Hautpoul, réapparut comme par enchantement en juin de l’année 2005.
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De la belle endormie, les incidences généalogiques recueillies ces derniers temps ont fait rentrer Alexandre LENOIR, le sauveur de ce Château de Gaillon, demeure de plaisance des archevêques de Rouen, dans une famille dont les ascendances restent des plus énigmatiques, la Famille d’Hautpoul-Felines.
La descendance de cette dernière détenait une partie des documents notariés communiqués par Marie de NEGRE D’ABLES à sa fille aînée Marie. Partie n’ayant rien à voir avec le testament d’Henri ou Blaise d’Hautpoul, réapparut comme par enchantement en juin de l’année 2005.
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Ecrit par: tege, Le: 04/05/14